Voyager en palette d’émotions : lorsque l’aventure devient introspection

Par Isabelle Bertrand
1221 Vues
Voyager en palette d'émotions : lorsque l’aventure devient introspection #emotions #voyage #voyager #introspection

Voici des extraits du journal de voyage de notre collaboratrice qui nous transporte avec elle dans ses moments d’introspection en voyage à travers le monde. 

Mes voyages d’introspection

CONNECTER. OU RECONNECTER. Partir sans fuir. S’évader pour quitter temporairement tous les éléments satellites pour un petit voyage intérieur. Pour toucher le cœur. Dorloter l’âme. Je sais, je le répète sans cesse, Mère Nature est mon temple à moi. Les étoiles sont mes anges. Je prie les arbres, les rivières, les montagnes, le soleil et même la pluie. Et chaque fois, la nature me couvre en retour de sa magie. Quand on y pense, la nature est belle, pure et tellement paisible. Elle est sauvage à la fois. Mais même dans ses élans de furie, la nature est admirable et respectable. L’Homme devrait en tirer des leçons. 

Extrait de journal, dans une tempête intérieure, quelque part près de Langjökull, Islande, juin 2017. 

Tempête en Islande dans notre article Voyager en palette d'émotions : lorsque l’aventure devient introspection #emotions #voyage #voyager #introspection

J’ouvre pour vous dans ce récit mon épais journal de voyages afin de partager les vraies couleurs des aventures. Parce que mon JOURNAL, plus que mes paroles ou mes photos, traduit l’essence véritable des expériences.  

Je ne vais pas prétendre que la spiritualité fut ma partenaire de voyage dès le début. J’ai voyagé pour découvrir, pour m’amuser, pour faire la fête. J’ai voyagé parce qu’à une époque l’éphémère définissait très bien ma perception de la vie, de l’amour et du plaisir.  J’ai aussi voyagé pour clamer ma liberté. 

Je me souviens bien sûr d’avoir ressenti l’euphorie et d’autres intensités, mais à l’époque je consommais les émotions et les expériences comme du fast-food. Avec un peu de recul, je sais que j’ai quand même grandi au fil de mes premiers voyages mais c’était bien inconscient. 

Les voyages-légèreté ont tranquillement muté en quêtes-ressentir et en soif d’apprentissage il y a quelques années, 7 ans peut-être. 

Chaque aventure depuis, ici ou outremer, m’enseigne un fondement qui contribue à mon épanouissement et mon équilibre. Chaque voyage m’entraîne dans une sorte de méditation-réflexion où j’ouvre volontairement mon âme et aiguise minutieusement mes sens en attente de manifestations, sans exception. Comme je le dis tout le temps, RÉFLÉCHIR et PENSER sont des GRANDS verbes d’action. Pour bien comprendre ou bien décoder, tout se qui se passe « en-dedans » est soigneusement exploré et décrypté dans un précieux cahier. Le journal de voyage est incontestablement un partenaire d’aventure obligé. 

Donc, quelques fois par année, je me fixe un précieux rendez-vous avec moi-même avec l’intention avouée de grandir. 

⇒ À lire également : Voyage et image corporelle

 

La première rencontre : communion à Skógafoss

Je suis partie en mode fuite pour Stockholm en 2013. Mon vol de retour faisait escale à Reykjavik. Comme je rêvais d’Islande depuis déjà longtemps, j’ai décidé d’y rester pour 48 heures.  Je ne sais pas si c’est parce que ma situation personnelle me rendait plus vulnérable, donc plus encline à être touchée directement au cœur, mais je crois que c’est la première fois que j’ai réellement reçu un message criant et que j’ai accepté sans retenue de laisser parler le moment. 

Ce jour de septembre à parcourir la côte sud d’Islande fut fantastique. Je pourrais décrire chaque instant en termes d’émotions ressenties. Parce que c’est comme ça que je voyage maintenant, en palette d’émotions. Crépuscule d’une journée très chargée de sentiments, mon guide insiste pour faire un arrêt à Skógafoss. Il m’a d’abord raconté la légende du trésor caché derrière la chute pour enchaîner avec une démonstration de l’activité-émotion : « Tu dois courir vers la chute sans t’arrêter » me dit Pali. Je l’ai regardé partir à toute vitesse vers cette chute qui en tombant du ciel disparaissait au centre de la terre ne laissant au passage qu’un ruisseau. Je peux à ce jour revoir Pali revenir vers moi trempé mais avec une aura de grande sérénité.  « Vas-y ». 

La lueur qui cerclait Pali m’a intriguée. De toutes façons, il faudrait être vraiment bête pour refuser lorsque quelqu’un vous pointe la direction du chemin vers une évidente félicité. Je l’ai regardé comme s’il était un ange et je suis partie comme une fusée. Juste la course m’a libérée je pense des derniers fragments qui pouvaient faire entrave à une pleine réceptivité. Ce n’est qu’à deux mètres du mur d’eau qu’une force puissante en soufflant m’a repoussée. La chute avait arrêté ma course. J’ai reculé de plusieurs mètres, les bras en croix.  Ce fut littéralement ma communion je crois.

Extrait de journal, une course vers la lumière, Skógafoss Islande, septembre 2013. 

Ce soir-là, je me suis assise longtemps seule sur la plage de Reykjavik à mettre tranquillement en mots l’expérience vécue. Je crois que LIBÉRÉE fut le mot clé. Et mon JOURNAL était né. 

La compréhension de l’ampleur de l’impact de ces instants sur la possibilité de grandir comme être humain n’était peut-être pas entière ce jour-là, mais cette rencontre avec l’Islande et Skógafoss a définitivement initié en moi un nouveau besoin, une nouvelle quête personnelle je dirais. Les observations au cours de nombreuses escapades subséquentes m’ont ensuite naturellement guidée vers l’ABC d’aventures-introspection qui sont devenues indispensables pour moi. 

Communion avec la chute Skógafoss en Islande dans notre article Voyager en palette d'émotions : lorsque l’aventure devient introspection #emotions #voyage #voyager #introspection

Une course vers la lumière à Skógafoss en Islande

 

Le journal de voyage : décrire la scène avec le cœur   

Mettre en mots l’expérience vécue…une longue pratique d’introspection justement! Je suis photographe. La beauté des paysages me parle définitivement. Elle m’émeut sincèrement même. Remarquez, j’ai souvent dit que la beauté de la nature me fait pleurer, mais je réalise que l’équation n’est pas si simple. C’est en fait une chaîne d’actions-réactions avec les émotions. Aussi, en nourrissant le regard j’absorbe le magnifique évidemment, mais je réalise surtout le privilège. ÇA, c’est définitivement émouvant.

Alors, outre mes caméras bien sûr, je ne voyage JAMAIS sans un cahier de notes. Vous devriez définitivement tenter l’expérience :  décrivez vos journées-voyages dans un journal en parlant d’émotions ressenties et non d’images perçues. C’est l’outil idéal pour pousser le ressenti vers l’introspection, la conscience et la compréhension. Et si vous êtes à court de mots, vous pouvez métaphorer, inventer. Mais il faut arriver à peindre le sentiment. 

J’écris ces lignes sur le chemin du retour vers Jaipur. Plus tôt, j’ai passé une bonne heure assise aux Ghats de Pushkar. Des éclats de rire émanaient des eaux sacrées. Je souriais à une présence invisible en retour. J’avais le bonheur au cœur. Partout de belles âmes se baignaient. Le temps file. Je devais quitter, mais j’étais prise dans le moment. Figée. Je n’avais même plus le courage de me lever. Je ne pouvais pas quitter une SÉRÉNITÉ ABSOLUE. C’était ça en fait. J’ai senti mon corps devenir si lourd. En-dedans. J’ai dû tellement forcer pour me ressaisir que j’ai été prise de nausée et j’ai eu envie d’éclater en sanglots. J’ai dû me séparer d’un moment comme j’aurais dû dire Adieu à une personne aimée. J’ai regardé le ciel en soufflant un baiser. À mes anges et aux Dieux colorés de l’Inde, merci. 

Extrait de journal, complètement hypnotisée par le spectacle SAINT des Ghats de Pushkar, le 25 octobre 2014. 

J’ai subtilement pris les photos suivantes au cœur du moment… Comme quoi il n’y a pas miroir entre ce que les yeux voient et la façon dont le cœur et l’âme perçoivent.  

Donc, non seulement cet exercice permet de garder des souvenirs de voyages exceptionnels, mais l’exploration et la découverte de sentiments nous permettent de grandir.  C’est pour ça que chaque fois je suis excitée par ce qu’une aventure me fera découvrir. 

⇒ À lire également : Varanasi en Inde: mon séjour émouvant dans la capitale spirituelle indienne et notre article Voyager seule en Inde en tant que femme : Conseils d’une voyageuse en solo

 

Professeure Dame Nature, ma muse

D’emblée je l’ai annoncé, la nature est mon Temple. Quand je m’y recueille, je suis envahie par une belle sérénité. Je pense que plusieurs réponses se cachent en son sein et j’ai la prétention peut-être fantaisiste de croire que si la passion et la patience nous permettent de l’apprivoiser tranquillement, elle peut révéler quelques secrets. Si je devais énoncer un objectif-vie ultime ça serait très certainement d’arriver à une symbiose parfaite avec Dame Nature. Dans ma tête, ce moment rime avec une pure sérénité et l’atteinte de la sagesse. 

Je suis allée au Temple ce matin. Mon Temple. Pour ceux disposés à l’écouter, Dame Nature dévoile de belles vérités. Quelque soit le motif de jours plus sombres, l’immobilité n’est qu’une illusion. La vie est un mouvement constant. Observer cette puissante chute affirmer son chemin malgré une enclave complètement gelée aujourd’hui m’a rappelée que je suis forte et vivante. 

Extrait de journal, prise dans une spirale de la vie, randonnée hivernale, décembre 2016.  

Lorsque la vie me coince dans un tourbillon, j’applique depuis cet enseignement, je deviens cette chute. Il n’y a pas de véritable inertie malgré la perception occasionnelle.  La vie c’est un mouvement. 

La vie est un mouvement dans notre article Voyager en palette d'émotions : lorsque l’aventure devient introspection #emotions #voyage #voyager #introspection

Il n’y a pas d’inertie, que du mouvement

Je dois souligner, j’aime aussi profondément les humains évidemment. Mais pour voyager au fond de moi-même j’ai besoin de solitude prolongée. L’absence d’interférence permet une certaine pureté de la pensée. Certaines émotions se permettent aussi d’exister pleinement ou de se découvrir sans témoin seulement. 

Tiens, ça me rappelle ce merveilleux spectacle, un gracieux ballet de baleines aux Escoumins. Je suis allée en octobre dernier passer 48 heures à Mer et Monde pour contempler la vie. Juste comme ça, simplement. Littéralement, j’ai installé ma tente, parti le feu, ouvert un bon petit rouge espagnol et je me suis assise à fixer l’horizon. À attendre, soit la direction des pensées, soit les indications de mon environnement. Je dois souligner, je n’ai pas besoin d’une zone tampon d’adaptation à la solitude, j’ai l’habitude. Lors de mes périples solos, elle m’habille immédiatement et me sied à merveille. Je suis aussi un bon petit caméléon. Je m’adapte très facilement aux entourages divers. 

Moment d'attente dans notre article Voyager en palette d'émotions : lorsque l’aventure devient introspection #emotions #voyage #voyager #introspection

Moment d’attente de manifestation des baleines, ou de mes pensées, aux Escoumins

Donc, j’ai contemplé la beauté dans un état de béatitude pendant des heures avant d’aller dormir comme un loir. Pour vous dire comment ces escapades-sentiments ont un but en soi, j’ai même réglé mon alarme à 5h45 pour tirer le maximum de la période quête-apprentissage.  Juste le bien-être du moment café au lever du soleil, assise sur un rocher les pieds dans le vide surplombant le fleuve aurait pu en soi être l’aboutissement de ce court voyage. 

Chère Vie, merci pour le partage de ce TOUT.  Il n’y a absolument rien d’autre dont j’aie besoin en cet instant. 

Extrait de journal, Carpe Diem aux Escoumins, le 12 octobre 2019.  

Carpe Diem aux Escoumins dans notre article Voyager en palette d'émotions : lorsque l’aventure devient introspection #emotions #voyage #voyager #introspection

Carpe Diem au réveil aux Escoumins

Mais, ce n’était pas tout en fait. Le lever de soleil n’était que la prémisse d’un instant merveilleux. Quelques heures plus tard, alors que je poursuivais ma contemplation, le rideau s’est levé sur un spectacle hors de l’ordinaire : un ballet de baleines! 

La chose la plus gracieuse que j’aie vue. Un ballet. Tsst tsst… Pas un ballet comme au théâtre!  Des baleines. Des baleines qui dansaient. Peut-être vingt d’entre-elles. Un synchronisme parfait. La perfection comme seule le peut Mère Nature. Alors que mon esprit errait, c’est leurs soupirs qui ont d’abord attiré mon attention.  Chaque souffle annonçait une pirouette. Je me suis levée en ovation. Je pense qu’elles m’ont entendue. Le spectacle a duré un moment, me laissant ensuite sans voix. Je les ai regardées nager leur chemin vers l’horizon. Ensuite, j’ai eu envie de danser moi-même. Et si l’enchaînement RESPIRER-DANSER était une clé pour trouver l’harmonie? 

Extrait de journal, en dansant complètement euphorique sur les rochers des Escoumins, le 12 octobre 2019. 

Instinctivement, le spectacle terminé, je me suis mise à danser et rire aux éclats en imitant bien sûr le souffle des baleines. Le synchronisme n’y était pas bien sûr, mais l’harmonie du corps, de l’âme et de l’esprit se faisait bien sentir. 

Danser avec les baleines aux Escoumins dans notre article Voyager en palette d'émotions : lorsque l’aventure devient introspection #emotions #voyage #voyager #introspection

Moment d’euphorie à danser avec les baleines aux Escoumins

 

Mettre la table pour l’aventure-introspection

Je penche normalement pour des aventures road trip. Lorsque les routes s’enfuient enfin tranquillement entre les paysages en laissant derrière les aéroports ou les zones connues, mon cerveau fait tranquillement le vide laissant place à l’inattendu. C’est alors que paisiblement tous mes sens prennent le dessus sur la conscience. 

⇒ À lire également : Mon road trip au Yukon au Canada : 12 jours de liberté en truck camper au gré du vent

Route vers l'inconnu en road trip dans notre article Voyager en palette d'émotions : lorsque l’aventure devient introspection #emotions #voyage #voyager #introspection

La route laisse l’univers connu derrière en road trip

Alors que j’errais paisiblement sur les chemins de la campagne Vermontaise ce matin, je me disais qu’il y a quelque chose de très apaisant dans la mélancolie d’automne, lorsque Mère Nature laisse sa parure disparaître doucement se révélant sereinement presque nue. Je dois y réfléchir, la transition des saisons doit cacher une sage leçon. 

Extrait de journal, un paisible matin d’automne alors que je devais laisser derrière moi une pièce du passé. 

Comment pourrais-je expliquer clairement la réaction chimique ou électrique intérieure qui se produit chaque fois? Il y a d’abord l’intention et la réceptivité. Je veux grandir. Je veux apprendre. Je veux découvrir aussi. Les émotions c’est un peu comme des muscles! De nouveaux exercices révèlent parfois des zones inconnues! Tiens, oui c’est exactement ça, ça résume bien. Quand je suis prête, disposée à recevoir, Professeure Nature agit. Elle saisit et nourrit d’abord le regard qui lui ouvre ensuite la porte au cœur et à l’esprit. C’est là que la plume traduit. 

Lorsque je sens que tous mes sens s’enlacent, en communion avec les merveilles qui m’entourent, j’ouvre souvent les bras en signe de reconnaissance. C’est comme si je m’abandonne alors dans une confiance absolue avec la nature, avec la vie. Ce moment précis crée chaque fois une connexion si unique avec le Monde, un grand sentiment de plénitude : je suis petite et grande à la fois, vulnérable et forte, seule mais unie à tous les éléments. 

 

Parfois, ces aventures-introspection m’inculquent de grands enseignements, parfois elles me remémorent simplement une instruction endormie. Comme cette fois où je suis partie à la chasse aux icebergs à Terre-Neuve avec l’arrogance du tout acquis. J’ai atterri à St-John avec mes chaussures de grandes attentes en brûlant les lentes étapes de préparation interne. J’avais, semble-t-il, aussi oublié que les signes et révélations de Dame Nature se dévoilent à l’esprit reconnaissant. Ce sont des privilèges.    

Chère Vie, je voudrais sincèrement m’excuser. Les derniers jours ont été une aventure difficile faite de frustrations intérieures et extérieures. Alors j’ai perdu FOI. Ce qui est une leçon en soi. J’aime prétendre que je suis au-dessus de ce risque. C’est amusant, je devrais pourtant savoir, la vie est un long processus d’apprentissage. Mais merci pour ce petit coup de pied. 

Extrait de journal, en prenant soudainement connaissance de ma chance devant de gigantesques icebergs, Terre-Neuve, juin 2018. 

Icebergs à Terre-Neuve dans notre article Voyager en palette d'émotions : lorsque l’aventure devient introspection #emotions #voyage #voyager #introspection

Prendre conscience de sa chance devant les icebergs de Terre-Neuve

Ce qui est amusant c’est qu’à l’aube de chaque aventure je me demande ce que la VIE m’apprendra cette fois. À noter que je ne cherche pas nécessairement de réponses particulières. Si parfois bien sûr une escapade s’applique pour panser les maux, la plupart du temps j’ai juste envie de grandir un peu. Grâce à cet exercice d’introspection et ce besoin de compréhension, et bien sûr à l’héritage de l’écriture, je découvre lors de chaque aventure qu’il réside au fond de nous un millier de sentiments-trésors cachés. Chaque escapade me permet d’explorer l’intérieur et de révéler tranquillement une petite partie de cette palette d’émotions.

Chaque fois qu’une expérience tire à sa fin, je réalise qu’en vérité je n’ai pas besoin de tout ce que je possède. Une illusion temporaire peut-être. Ou peut-être pas. Les éléments les plus précieux, je les transporte partout où je vais de toutes façons. Surtout l’amour, celui que je donne et celui que je reçois. Si le voyage n’est pas le bonheur en soi, il apporte quand même de nouvelles couleurs, de nouvelles saveurs, de nouveaux visages et de nouvelles émotions qui nous forcent à sortir de sa zone confort et à faire une petite place à l’épanouissement. Ma mère m’a dit l’autre jour que je suis douée d’une aptitude unique pour le BONHEUR. Oui, évidemment, je suis née douée pour la sensibilité et choyée par la liberté. 

En trottinant à cheval au cœur de la vallée de mon Shangri-La à moi, Viñales, janvier 2016.

 


Informations pratiques pour organiser vos voyages


⇒ Suggestion LVDQ pour votre hébergement : Vous pouvez utiliser ce lien Booking.com pour faire la réservation de vos hébergements. Chaque fois que vous utilisez ce lien avant de réserver, Booking nous verse une partie de sa commission sans que cela vous coûte davantage. Ce simple geste permet de nous aider à faire vivre ce Magazine web. Merci de nous encourager dans notre travail de vous fournir de l’information pour vos voyages.


⇒ Suggestion LVDQ : Pour trouver un vol pas cher pour votre voyage, nous vous suggérons deux bons comparateurs de prix pour trouver vos vols les moins chers. Ce sont deux comparateurs de vols très populaires et simples d’utilisation que nous avons choisis comme partenaires. On vous recommande CheapOair qui offre même une carte en temps réel des destinations et leurs conditions de voyage où il est possible de voyager en temps de covid en fonction de votre pays d’origine et de votre citoyenneté. Et bien sûr, Expedia, qui est aussi intéressant pour trouver des hôtels à bon prix. En cliquant sur nos liens avant de faire vos recherches et de réserver, sans que cela ne vous coûte plus cher, vous nous encouragez à faire vivre la mission de Les voyageuses du Québec qui est de démocratiser le voyage au féminin et à créer des projets pour la belle communauté que nous sommes.


⇒ Suggestion LVDQ pour vos assurances voyage : Si vous recherchez une bonne assurance voyage pour votre prochain voyage, économique, fiable et appréciée des voyageurs depuis de nombreuses années, on vous suggère fortement de faire votre demande de soumission ici, via ce lien, sur le site de Sécuriglobe, le plus important courtier en assurances voyage et santé au Canada qui représente plus de 7 assureurs différents. C’est un bon partenaire à nous et si vous cliquez sur notre lien ici-haut, vous serez dirigés directement sur notre page partenaire pour faire votre achat en ligne qui vous donnera automatiquement 5% de rabais. Si vous préférez les contacter via téléphone, il est important de leur mentionner le code REF002.


⇒ Outil par excellence de planification de voyage : Pour celles qui adorent planifier leurs voyages, vous serez ravies d’apprendre qu’il existe un outil hyper complet de planification et de gestion de voyage. Créé par deux Québécois, dont Nathalie, fière voyageuse du Québec,Planning Motion est l’outil en ligne à avoir. Ça fonctionne sur un plan d’abonnement et cette application vous permettra d’avoir au même endroit le calendrier interactif de votre voyage, votre itinéraire sur une carte (qu’il est possible de partager), les informations et documents de vos réservations d’hébergements, de transports, etc, les dépenses converties en une seule devise, des listes de planning, un PDF complet du voyage et bien plus. L’essayer, c’est l’adopter!


[yasr_visitor_votes size=”medium”]

Vous êtes sur Pinterest? Vous pouvez ajouter les épingles de cet article : Voyager en palette d’émotions : lorsque l’aventure devient introspection

Mes introspections en voyage Mes introspections en voyage

* Cet article a été rendu possible grâce à la collaboration de notre auteure, tous les propos et les expériences demeurent les siens. Ils comportent également des liens affiliés de partenaires, choisis judicieusement par l’équipe de LVDQ, pour vous aider dans la préparation de vos voyages.

Pour continuer la lecture

Laissez un commentaire

2 × 2 =

Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site. Si vous continuez à utiliser ce dernier, nous considérerons que vous acceptez l'utilisation des cookies. Accepter En savoir plus

NOUVEAUTÉ ! Découvrez tous nos voyages entre femmes à venir!Cliquez ici pour voir tous nos voyages organisés en petits groupes
+