Notre collaboratrice vous raconte quelques-unes de ses histoires de voyage. Du Pérou au Canada, en passant par l’Équateur, vous y découvrirez des anecdotes de voyage qui lui ont fait vivre, à elle et sa famille, bien des émotions.
Les anecdotes et histoires de voyage qu’on ramène dans notre sac à dos de vie
Pourquoi dit-on que les voyages sont formateurs? Que nous reste-t-il de ces histoires de voyage une fois revenues chez soi? Existe-t-il un moyen de voyager de façon 100 % sécuritaire? D’éviter les pépins qui risqueraient de nous causer des maux de têtes à l’étranger?
J’espère bien que non! Même si je suis quelqu’un d’organisé qui aime avoir un certain contrôle sur ma vie, je crois que ce qui fait la beauté d’un périple, ce sont ces anecdotes de voyage que nous ramenons dans notre sac à dos de vie. Ces instants où nous avons eu un frisson de peur! Où nous sommes sorties de notre zone de confort! Ce sont ces instants que nous nous remémorons une fois rentrés, avec une pointe de nostalgie. Surtout, ce sont ces histoires de voyage qui animent nos discussions autour de la table lors de soirées en famille ou entre amis. Ne croyez-vous pas?
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Comme il est actuellement recommandé de rester à la maison vu la situation de la pandémie mondiale, j’ai envie de vous partager certaines de mes anecdotes de voyage. Plus particulièrement des histoires de voyage où, pour toutes sortes de raisons, rien ne s’est passé comme je l’avais prévu.
Mes histoires de voyage
Je vous partage ici 4 histoires de voyage et anecdotes mémorables de mes voyages à travers le monde. Du Pérou au Canada, en passant par l’Équateur, ces histoires de voyage qu’on prend plaisir à raconter aujourd’hui, nous ont fait vivre bien des émotions sur le moment.
Notre première nuit au Pérou : une histoire de voyage qui remet tout en perspective
Pour ouvrir le bal de ces histoires de voyage, je commence donc avec une anecdote de voyage familiale. En 2018, je me suis envolée vers le Pérou avec ma petite famille. C’était pour nous tous, un premier voyage en sac à dos, et j’avais plusieurs motivations stimulant ce choix. Je vous épargne tous les détails, mais le but principal, qui peut paraître cliché, était de faire découvrir une autre réalité à mes enfants. Je voulais absolument les sortir de leurs zones de confort.
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Le Pérou, avec son climat favorable en août, ses attraits touristiques et son côté abordable fut un choix naturel. Les billets achetés et ayant beaucoup de temps devant moi, j’ai ensuite commencé la planification de notre itinéraire. Une fois le plus gros du travail achevé, j’ai partagé mes choix d’hébergement aux enfants en leur montrant des images d’endroits où nous allions dormir. Je voulais ainsi les rassurer. Surtout ma fille, qui avait beaucoup de réticences et de craintes par rapport à ce voyage. D’un point de vue pratico-pratique, j’avais prévu passer nos deux premières nuits dans un quartier près de l’aéroport de Lima. Je croyais qu’il serait plus facile ainsi de se familiariser tranquillement avec la ville.
Le grand jour arrivé, après plusieurs heures de vol, nous atterrissons enfin à Lima. Notre première expérience en voiture sur cette terre Inca est un sport extrême! Les Péruviens conduisent en fous!!! Entre freinage au dernier moment, une distance inexistante entre les véhicules et pas de ceinture de sécurité pour les passagers, nous vivons un léger choc culturel. Quel contraste avec le Québec! Chez nous, la ceinture est obligatoire. Même les enfants plus petits doivent avoir un siège adapté avant de pouvoir s’asseoir dans un siège régulier. Alors devoir justifier à mes enfants pourquoi on ne peut pas s’attacher dans cette voiture m’est plutôt difficile.
Pendant ce trajet qui doit nous mener à notre auberge, je tente donc de rassurer tant bien que mal les enfants. Je les observe. Ils sont tendus et silencieux, leurs yeux tournés vers le décor extérieur qui ne ressemble en rien à ces belles photos de Miraflores que je leur ai présentées à la maison. Je leur dis de ne pas s’inquiéter, puisque notre hébergement n’est pas dans ce quartier-ci. Pourtant, la voiture s’immobilise bientôt et nous dépose bel et bien devant la porte de notre auberge. Nous sommes en fait dans le quartier de Los Olivos. QUOI?? Je ne sais pas pourquoi, mais j’avais vraiment l’impression d’avoir réservé à Miraflores (qui est en fait très loin de l’aéroport)?!! OUPS…
Ceci dit, j’ai lu d’excellents commentaires sur cette auberge et je ne veux pas que les enfants sachent que je suis un peu (très) surprise. Je n’ose surtout pas regarder mon chum, parce que je sens bien qu’il n’est pas super à l’aise. D’ailleurs, l’abcès crève (explose) une fois la porte de notre minuscule chambre fermée. Dans une odeur de litière à chat qui prend à la gorge, ma grande se met à pleurer à m’en déchirer le cœur. Elle est complètement découragée “d’être prise 3 semaines au Pérou”, dans des chambres qui ne ressemblent en rien à ce qu’elle a connu avant : Château Bromont, Hôtels Jarro ou Resorts de Cuba.
Bon, je suis un peu sarcastique ici, mais sa détresse est bien réelle. En réalité, ce n’est pas mal comme endroit, mais pour un enfant qui ne connaît que le luxe américanisé, c’est tout un clash!!! Même mon fils, qui est plutôt optimiste en général, n’ose pas en rajouter, mais cache bien mal sa tristesse. Mon chum, qui n’avait pas vraiment d’attentes précises, ne sait pas trop quoi dire pour m’épauler. Alors que moi, qui ai tout organisé, je me sens coupable. Le but n’a jamais été de faire vivre de l’anxiété aux enfants! En plus, j’ai réservé cette chambre pour deux jours et ce n’est pas remboursable.
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Malgré une nuit d’insomnie à tenter de résoudre le problème dans ma tête, le lendemain tout est plus doux. Après avoir discuté avec d’autres voyageurs, fait un tour sur la terrasse et caressé les chats, nous sommes tous plus calmes. J’ai alors la chance de discuter avec notre hôte qui a la gentillesse d’annuler notre seconde nuit, sans frais. L’éloignement de l’auberge par rapport aux lieux que nous voulons visiter et le désarroi de la veille ont été mes motivations pour faire la demande d’annulation exceptionnelle. Je voulais sortir mes enfants de leur zone de confort et c’est plus que réussi.
Ce premier dodo au Pérou est probablement parmi nos histoires de voyage, notre préférée, parce qu’avec le recul, elle nous paraît bien exagérée! Si nous étions passés à cet endroit en fin de voyage, JAMAIS nous n’aurions vécu ces émotions. La beauté de cette anecdote de voyage est que, par la suite, tous les petits plus auxquels nous avons eu accès, nous ont paru comme de grands privilèges. Des choses banales comme une salle de bain privative, une télévision, du chauffage ou de l’eau chaude… tous ces acquis ont soudainement pris une grande valeur à nos yeux. Comme quoi, nos histoires de voyage nous transforment pour le mieux.
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Une anecdote de voyage explosive au Pérou
Voici une autre petite histoire de voyage vécue au Pérou. Nous sommes alors à Cusco. C’est en fait notre première journée dans cette ville bien connue de la Cordillère de Andes. Nous avons prévu de flâner dans les rues sans but précis. À peine sortis de notre auberge, je réalise que nous avons oublié notre crème solaire et je décide de retourner chercher le pot resté dans notre chambre. Or les garçons, fatigués d’attendre après nous les filles, décident de continuer à marcher et nous donnent rendez-vous près d’une église, en bas de la rue.
Nos deux hommes arrivent donc devant cette église où il y a un rassemblement. Une bonne foule s’y tient et lorsqu’un banc se libère, mon chum y voit l’occasion rêvée de s’asseoir en nous attendant. Étrangement, une femme s’adresse à lui en gesticulant. Il n’en fait pas de cas et reste confortablement assis aux côtés de notre garçon. De toute façon, il ne comprend pas ce qu’elle dit, son espagnol appris sur Duolingo n’étant d’aucune utilité. En fait, il est persuadé que ce n’est sûrement pas bien grave.
C’est à ce moment que la foule entre en mouvement et semble se disperser. POW POW POW POW POW, des pétards se mettent à péter devant. Les gars n’ont pas le temps de se lever que le mal est fait : mon fils a reçu une étincelle au visage. Quand nous arrivons enfin, ma fille et moi, nous ne comprenons pas ce qui se passe. Mon garçon semble avoir reçu un mégot de cigarette entre les deux yeux ou porter le bindi. Par chance, l’étincelle n’a pas atterri dans son œil !!!
C’est qu’au Pérou, il y a énormément de fêtes. À Cusco, toutes les occasions sont bonnes pour faire éclater des pétards. Il n’existe pas de périmètre de sécurité à proprement dit. Heureusement, mon fils s’en est bien tiré. Une petite visite à l’Inka Pharma, l’achat d’une crème très efficace et la plaie a bien guérie. C’est pourquoi ceci est resté dans nos histoires de voyage anecdotiques. Autrement, on aurait parlé d’un fâcheux incident, ou de catastrophe. Nous en avons tout de même tiré une leçon. Cette histoire de voyage nous a fait réaliser que l’observation de l’environnement à l’étranger peut nous éviter bien des soucis.
⇒ Suggestion LVDQ : Vous pouvez lire une autre anecdote particulière vécue au Pérou par Mélanie et sa famille sur son blog personnel : Sacsayhuaman : récit d’une arnaque.
Une anecdote de voyage en Équateur qui nous démontre la force de la nature
Après ces deux premières histoires de voyage au Pérou, cette fois-ci, je suis en Équateur, sur la plage de Montanita. Nous passons la prochaine semaine dans un sympathique camp de surf pour apprendre les rudiments de ce sport dans les meilleures conditions. Le jour de notre arrivée, il n’y a pas de leçons à l’horaire et nous décidons de profiter de cette fin de journée pour aller jouer dans les vagues. Pour les enfants c’est une première, puisque les plages visitées depuis leur enfance offraient toujours une mer très lisse.
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Ici, nous avons affaire à de bonnes vagues, dignes du surf. Sur la plage, nous voyons très peu de gens à l’eau, et ceux que nous apercevons sont plus loin, vers le village de Montanita. Nous nous trouvons à l’opposé, près d’une pointe avec un cap rocheux.
Nous jouons tous dans les vagues lorsqu’un sauveteur vient nous avertir de ne jamais aller plus creux qu’à la mi-cuisse, le courant étant très fort à cet endroit. L’océan risque de nous amener vers le large si nous sommes imprudents. Ça tombe bien, ma fille et moi voulons justement sortir de l’eau. Par contre, mon chum et mon fils veulent continuer à s’amuser dans les vagues, alors ils reculent un peu plus près de la plage.
Avec le temps toutefois, ils avancent sans s’en rendre compte, et le niveau d’eau dépasse celui recommandé par le sauveteur. Il faut dire que ce n’est pas évident de comprendre à quoi se fier, puisque la différence lorsque la vague est à son plus bas et à son plus haut est d’environ un pied. Est-ce que le niveau de l’eau est bon au plus haut, ou au plus bas? Voyant que nous désobéissons, le sauveteur vient me parler pour que je passe le message clairement aux garçons : ils doivent reculer ou sortir de l’eau! Comme on ne veut pas de problème, on décide de reprendre la baignade un autre jour. Au fond de nous, on estime que le gars exagère peut-être un peu sur la sécurité…
Lors de notre première leçon de surf le lendemain, nous apprenons qu’il y a une ligne invisible sur la plage qui correspond à un endroit où les courants changent drastiquement. Cette frontière est à ne pas dépasser puisqu’elle pourrait nous amener au large ou vers les rochers. Une bande de surfeurs glissent sur les vagues un peu plus loin dans cette zone, un endroit où seuls les initiés sont les bienvenus. En fait, c’est que les débutants n’y auraient aucun plaisir et risqueraient d’y laisser leur peau. D’ailleurs ce jour-là, en prenant plusieurs vagues de travers, nous prenons bien conscience de la force de l’eau.
En fin de journée, nous retournons jouer dans les vagues, en nous rappelant les recommandations de la veille. Tout le monde est plus prudent, comprenant mieux le danger. De la plage, on peut apercevoir deux baigneurs qui se sont aventurés plus loin et qui semblent bien s’amuser, si on se fie à leurs bras dans les airs. Je les trouve tout de même téméraires et je continue à les observer distraitement.
Quelques instants plus tard, j’entends siffler au loin et, me retournant, je distingue notre sauveteur de la veille. Il semble sorti de nulle part et se précipite dans l’eau à vive allure. Je me demande bien ce qu’il a vu, jusqu’à ce que je réalise qu’il nage à toute vitesse vers ces deux baigneurs que j’observe depuis tantôt. Il exagère, ils avaient pourtant l’air de s’amuser! Cependant, je réalise rapidement qu’il a vu juste, puisqu’en l’espace de quelques secondes, les deux baigneurs se retrouvent au large. Ils sont si loin que je n’arrive même plus à les voir!
J’ai même cru à un certain moment qu’ils ne reverraient jamais la terre ferme. Après plusieurs minutes et contre toute attente, le sauveteur, aidé d’un surfeur et d’un nageur exceptionnel, réussit à les ramener sains et saufs. Nous sommes sans mots. Je repense à la veille, quand mon fils me trouvait rabat-joie d’insister pour qu’ils reculent vers la plage. Il ne comprenait alors pas le concept d’océan versus la piscine. Un frisson passe le long de ma colonne, réalisant que ça aurait très bien pu être nous.
Cette histoire de voyage a fait réaliser à toute la famille que même si on se sent bien à l’aise dans l’eau, l’océan demande une bonne dose de respect.
Une histoire d’oubli lors d’un voyage au Canada
Ma dernière anecdote de voyage remonte à l’été dernier. Nous sommes alors en période de pandémie et j’ai dû changer mes plans de voyage initiaux. Ce ne sera pas Bali cette fois-ci, mais plutôt le Canada et plus particulièrement, les Rocheuses canadiennes. Je troque ainsi le sac à dos pour le motorisé!
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Même si cette décision est prise à la dernière minute, je ne suis pas moins organisée pour autant. Dans une course folle, je réussis à cuisiner tous les repas d’avance pour 3 semaines et quand je prends possession du véhicule, je suis prête à partir dès le lendemain. L’un des projets que j’ai avec ma famille pendant ce road trip, c’est de mettre nos planches de SUP à l’eau dès que l’occasion se présentera. Ça tombe bien, notre motorisé offre plusieurs compartiments de rangements extérieurs, il sera donc facile de sortir nos planches quand bon nous semble.
C’est d’ailleurs ce que nous faisons arrivés à Banff, aux Vermillions Lakes. Malgré la praticité de nos planches gonflables, la mise à l’eau demande un peu d’effort. Il faut d’abord trouver un stationnement disponible pour notre gros véhicule et sortir les SUP, qui sont derrière le matériel de tous les jours. Ensuite remettre le matériel, gonfler les SUP, ranger les sacs de transport puis transporter les planches au bord de l’eau. Une mise en place qui prend environ 30 minutes avant l’activité et 30 minutes après l’activité. Ce n’est pas si convivial que ça, mais ça fonctionne.
Notre deuxième expérience de SUP se passe au Lac Louise! Nous faisons d’abord une visite de repérage pour voir la faisabilité du projet et ensuite décider où sera la mise à l’eau. On voit bien deux ou trois planches sur le lac parmi la horde de petits canots rouges. C’est un signal pour nous, et le lendemain nous nous rendons sur place, prêts à pagayer sur les eaux turquoises du magnifique Lac Louise.
La procédure est la même, sortir le matériel, les planches, gonfler, remettre les trucs dans le véhicule, bla bla bla. Ça vaut tout de même la peine, parce qu’il faut se le dire, faire du SUP sur le Lac Louise est un moment épique où on se fait remarquer malgré nous. Une famille avec deux grosses planches, un canot gonflable et un Shiba Inu (notre chien ramener au Canada depuis l’Équateur), qui se mettent à l’eau entre les touristes sur le quai du Lac Louise, ça ne passe pas inaperçu! Surtout quand je tombe à l’eau, poussé par la planche que mon chum essaie de déplacer, question de s’enligner parfaitement entre les roches.
Une fois sur ma planche, c’est carrément irréel de naviguer sur cette surface turquoise et laiteuse. J’ai l’impression de faire du SUP dans une piscine avec un décor de cinéma en arrière-plan. On en profite bien sûr pour prendre plusieurs photos et vidéos. Comme mon chum a pris le rôle du photographe depuis le canot, il profite de notre retour vers le VR pour faire une petite session de SUP en solitaire, question de vivre pleinement le moment. À son retour, nous nous rendons au camping pour la nuit. Le lendemain, les projets sont un peu moins stimulants : nous avons une journée de lavage à l’agenda.
C’est d’ailleurs à la buanderie que je m’aperçois qu’il manque un gros sac de linge sale. Depuis le début, nous accumulons nos vêtements sales dans de gros sacs à ordures noirs. Comme l’espace est restreint à l‘intérieur du VR, mon chum a rangé ailleurs un sac qui était à pleine capacité. Celui-ci a été placé dans le même espace que les planches et tout le matériel d’extérieur. La veille, en sortant les planches au Lac Louise, il a dû oublier de remettre le sac dans le compartiment.
Même si c’est perdu d’avance, je prends la peine d’appeler au Lac Louise pour signaler notre perte et vérifier s’ils n’ont pas trouvé ce sac. Néanmoins en y réfléchissant un peu, qui prendrait la peine d’ouvrir un sac à ordure pour vérifier ce qu’il y a à l’intérieur, surtout en temps de pandémie? C’est malheureux, mais nous avons perdu ce sac, qui contenait en majorité les vêtements de ma fille. Une ado qui se change constamment et ne veut surtout pas remettre deux fois la même chose.
Cette petite histoire de voyage nous a coûté une session de magasinage et une dose de déception. Ce n’est pas si dramatique, mais tout de même moche quand on sait que nous sommes tous porté à s’habiller avec nos vêtements préférés en début de voyage. La plus grande perte de mon ado, c’est un pull acheté en Équateur et un toutou, souvenir précieux de Walt Disney.
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En y pensant bien, c’est probablement tout ce matériel qu’implique le voyage en VR qui me fait m’ennuyer de mon sac à dos. La liberté pour moi est dans la légèreté! Cette anecdote de voyage est probablement arrivée à la plupart des voyageuses. On perd tous quelque chose un jour ou l’autre, mais j’ai depuis la confirmation que moins on a à gérer de matériel, meilleure est l’évasion!
Voilà quatre histoires de voyage qui vous ont peut-être fait sourire, ou du moins diverties je l’espère. En attendant de voyager à nouveau, pourquoi ne pas se remémorer nos souvenirs en écriture ou en images? Mettre des mots sur nos expériences a le pouvoir de nous replonger dans cet état à part je trouve. Et quel plaisir de se relire plus tard, quand la mémoire en aura effacé des petits bouts, pour laisser la place à d’autres images.
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1 Commentaire
Pour aller au Pérou faut parler espagnol 😉
Pas cool pour votre fils, c’est impensable ce manque de sécurité mais je ne suis pas étonnée. J’ai vécu à Lima, je me suis prise souvent la tête avec des abrutis qui lançaient des pétards. Régulièrement, y a des mutilés, la justice divine 😉