Oser partir en voyage au bout du monde malgré ses barrières

Par Marika Marchand
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Oser partir en voyage au bout du monde malgré des barrières #voyage #oservoyager

Dans ce portrait de voyageuse, on rencontre Maude, une jeune femme qui a décidé d’oser partir en voyage à Bali et au Vietnam, à l’autre bout de la planète, malgré quelques barrières qui auraient pu l’en dissuader. Découvrez cette jeune femme inspirante dans cette entrevue typiquement féminine

Sommaire de l'article

Oser partir à l’autre bout du monde à Bali et au Vietnam

Je me demande bien où Maude a appris l’art de la conservation, mais comme peu savent le faire, elle a su sceller dans un pot Mason ce même coeur qui pompait sous son plexus lors de notre enfance. Ce spacieux coeur qui me donnait l’impression de se gonfler autant que possible entre ses autres organes afin d’emmagasiner le plus de folleries réalisables. Les danses, les costumes, les chansons, les coiffures et les courts-métrages à se tordre de rire de notre jeunesse brillent toujours dans les yeux de cette femme visionnaire, spirituelle, fonceuse, qui malgré ses craintes bien humaines et les contraintes qui auraient pu l’en dissuader, a osé partir littéralement de l’autre côté du globe: au sol de Bali et du Vietnam.

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Maude au Vietnam lors de son voyage en Asie dans notre article Oser partir en voyage au bout du monde malgré des barrières #voyage #oservoyager

Mon amie depuis l’enfance, qui malgré ses quelques barrières, a osé partir en voyage en Asie

 

Portrait de voyageuse : Le parcours de Maude en 10 questions

Dans ce portrait de voyageuse, découvrez Maude, une jeune femme inspirante. Une entrevue typiquement féminine!

1. Malgré le fait que tu étais la seule de ton entourage à réaliser ce projet, tu ne t’es pas empêchée de le concrétiser pour autant, et ce, malgré certaines peurs. Tu as décidé de partir avec une fille que tu ne connaissais pratiquement pas, raconte-nous comment ça s’est passé?

En fait, c’est la soeur d’une de mes bonnes amies. Donc, on se voyait de loin, mais on n’avait pas une relation d’amitié à la base. On connaissait quelqu’un en commun, mais rien de plus.

On s’est quand même rencontrées avant notre départ! On avait décidé d’aller prendre un café ensemble tout bonnement et elle est arrivée en me disant qu’elle voulait faire un voyage et j’ai dit « bien OK. Go! ». Tout a commencé comme ça. Ça me sécurisait quand même qu’elle soit la soeur d’une de mes très bonnes amies et tous nos “points” concordaient ensemble: on voulait aller dans un pays qui ne nous coûterait pas cher, d’à peu près la même durée de voyage (1 mois et demi), et du même genre (plus dans une optique de découverte et d’exploration que de party).

Par la suite, on s’est rencontrées à quelques autres reprises pour aller acheter ce qu’il nous manquait. On a donc quand même passé quelques moments ensemble avant le départ.

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Lors d'un trek dans les montagnes de Sapa au Vietnam dans notre article Oser partir en voyage au bout du monde malgré des barrières #voyage #oservoyager

J’ai décidé de faire ce voyage avec une voyageuse inconnue. Notre objectif était le même, découvrir les cultures des pays qu’on allait visiter

 

2. Comment s’est passé le voyage finalement? Y-a-t-il eu des tensions entre vous? Conseillerais-tu à d’autres filles de faire la même chose?

Oui, il y en a eu. Comme on ne se connaissait pratiquement pas elle et moi, on a donc réellement appris à se connaître durant le voyage. Par exemple, moi, j’avais peur des hauteurs et j’avais le mal des transports, donc il a fallu qu’elle s’adapte à ça au cours du voyage. Ces contraintes peuvent créer certaines frustrations chez l’autre, car ça nous restreint nécessairement.

Comme on ne se connaissait pratiquement pas elle et moi, on a donc réellement appris à se connaître durant le voyage. Par exemple, moi, j’avais peur des hauteurs et j’avais le mal des transports, donc il a fallu qu’elle s’adapte à ça au cours du voyage. Ces contraintes peuvent créer certaines frustrations chez l’autre, car ça nous restreint nécessairement.

On a aussi eu des tensions lorsqu’on devait faire des choix d’activités ou par rapport à nos personnalités très divergentes. Mais notre plus grande source de tension était surtout au niveau de la fatigue et de notre gestion d’espace et d’intimité parce que, souvent, on était dans une chambre commune et donc, on va se le dire, on se tapait parfois sur les nerfs (ahaha). Par contre, je te dirais qu’en dortoir, ce n’était pas mieux. On préférait tout de même la chambre commune pour la simple raison qu’on avait quand même notre toilette privée à deux et on pouvait un peu plus se laisser éparpiller.

À travers tout ça, on prenait aussi des moments pour soi. Par exemple, je suis quelques fois aller écrire dans mon journal hors de notre hébergement ou j’allais en ville avec des personnes rencontrées lors du voyage.

Dans mon cas, ça s’est bien passé en général, même s’il y a eu des accrochages. On a toujours été en mesure de se parler et de communiquer et c’est super important quand tu pars en voyage avec quelqu’un! Par contre, est-ce que je le recommencerais avec une autre personne? Non. Je pense qu’à priori, je dirais aux gens de partir avec quelqu’un avec qui ils sont proches, parce que ça a son lot de défis de partir avec un inconnu. Si jamais vous vous lancez quand même dans cette aventure, ayez des discussions honnêtes ensemble sur les attentes et les besoins de chacun avant votre départ.

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Croisière à Cat Ba au Vietnam dans notre article Oser partir en voyage au bout du monde malgré des barrières #voyage #oservoyager

Le choix des activités peut être une source de conflit lorsqu’on voyage avec quelqu’un. La communication est alors très importante

 

3. Comment s’est passé l’avant-départ, la mise en place de ce voyage et de votre itinéraire?

Je dirais qu’avant mon départ, j’étais excitée et stressée à la fois, parce qu’à ce moment-là, c’était mon plus long voyage. En plus, j’étais en couple. Mais, en général, j’étais contente, je vivais de belles émotions.

Je dirais qu’avant mon départ, j’étais excitée et stressée à la fois, parce qu’à ce moment-là, c’était mon plus long voyage. En plus, j’étais en couple. Mais, en général, j’étais contente, je vivais de belles émotions.

Pour la planification du voyage, on était quand même assez de dernière minute. Trois ou quatre semaines avant notre départ, on commençait à faire des listes, planifier ce qui nous manquait, faire nos commissions ensemble. On connaissait les incontournables à visiter, mais on a vraiment laissé de la flexibilité au niveau de nos activités et de nos hébergements (à part la première auberge dans laquelle on a dormi à notre atterrissage à Bali, le seul qu’on a réservé à l’avance). On n’avait pas d’itinéraire établi avant le départ. On savait qu’on voulait aller à Bali et on savait qu’on voulait aller au Vietnam! Ça nous a vraiment permis de visiter des lieux auxquels on ne s’attendait pas au cours de notre voyage, soit en demandant à la réception ou à d’autres voyageurs une fois rendues sur place.

Nous avons choisi de visiter le Vietnam et Bali parce que le coût de la vie est peu élevé. Ça nous permettait une plus longue durée de voyage et, ainsi, pouvoir expérimenter plus de choses. Aussi, la variété d’activités et de paysages (comme les montagnes, les temples du Vietnam et les plages, les îles de Bali)  de ces deux destinations nous plaisait et le climat était favorable pour la période (début septembre jusqu’à mi-octobre) où Jessica et moi pouvions entamer notre périple!

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4. Comment se passait votre voyage au quotidien et la gestion de l’hébergement, de la nourriture et du budget?

En fait, j’avais établi un budget pour mon voyage en entier. J’avais prévu environ 1500 à 2000  $ pour un mois et demi, mais je n’avais pas de budget par jour/semaine. Certains jours, on se reposait et on ne faisait pratiquement rien alors que d’autres, on pouvait faire plusieurs activités plus ou moins coûteuses. En général, je gérais vraiment mon budget au feeling, et ce fut facile à respecter.

Souvent, on logeait dans des Airbnb. C’est le principal médium qu’on utilisait pour louer nos hébergements! Comme on était deux et en se divisant le prix (environ 30 $ CAD), ça nous revenait au même prix que d’aller dans une auberge jeunesse de la même gamme. On a essayé trois ou quatre fois les auberges jeunesses, mais on a vécu une mauvaise expérience. Ensuite, ça ne nous tentait plus vraiment de réessayer. Il faut dire que c’était quand même une auberge jeunesse à 4 $ CAD seulement, donc la salubrité et le confort venaient avec.

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Au Vietnam, les Airbnb étaient aussi super intéressants parce que c’était fréquent de pouvoir loger dans la maison familiale de locaux (vraiment immersif). Je recommande vraiment aux gens de lire les commentaires sur l’application et de prendre le temps de communiquer avec la personne en charge de la location du Airbnb. J’ai aussi entendu parlé de l’application Workaway, où tu peux être logé en échange de services.

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Côté bouffe, nous mangions beaucoup de riz. Fait intéressant: à Bali, ils sont très avancés niveau végé/vegan. C’est d’ailleurs là que j’ai découvert le tempeh. Sinon, on mangeait beaucoup de nouilles et de Pad Thaï. Au Vietnam, c’était aussi généralement ça. Mais ce qui est très populaire là-bas, c’est la soupe Pho: un bouillon exquis accompagné de nouilles, de légumes et parfois de viande!

 

5. Tu m’a dis que tu étais en couple. Tu ne t’es donc pas empêchée de partir malgré ton statut comme le feraient plusieurs. Comment ça s’est passé et comment a réagi ton copain face à cette annonce?

Ça tombait quand même dans une période un peu plus délicate pour mon copain et moi. Sans rentrer dans les détails, on était un peu plus dans un bas, donc c’est sûr qu’à ce moment-là ça me stressait. Je me disais «est-ce que ça (notre couple) va tenir le coup? Comment ça va se passer à ce niveau-là?».

Ça tombait quand même dans une période un peu plus délicate pour mon copain et moi. Sans rentrer dans les détails, on était un peu plus dans un bas, donc c’est sûr qu’à ce moment-là ça me stressait. Je me disais «est-ce que ça (notre couple) va tenir le coup? Comment ça va se passer à ce niveau-là?».

Mon copain, lui, a bien réagi. Il était quand même assez enthousiaste. C’est sûr qu’il était un peu inquiet au niveau du couple, il se demandait, comme moi, si ça allait continuer, si ça allait fonctionner. Il me disait «Bon là, tu pars pendant un mois et demi, c’est plus que ton dernier voyage d’un mois en Thaïlande » toutefois, il ne m’a pas du tout empêché d’y aller. Au contraire, il était content pour moi.

 

6. Et comment ça s’est passé avec lui une fois que tu étais sur un autre continent?

C’est sûr que de mon côté, pouvoir être active me permettait d’être occupée, mais aussi de lui partager ce que je vivais dans la journée via des photos ou des vidéos. C’était ma façon de rester proche de lui. Lui aussi, il m’envoyait des photos, par exemple lorsqu’il magasinait ses lunettes de vue. On gardait une certaine proximité même si on était très loin géographiquement. D’ailleurs, rester en contact avec quelqu’un de chez moi m’aidait à garder un pied dans ce que je connais, c’était sécurisant et réconfortant. Nous communiquions environ une fois aux deux jours. Soit on s’appelait en Facetime, soit on s’écrivait via Messenger. Il faut dire qu’il y avait un gros décalage horaire de 12 heures qui nous séparait, donc il fallait que ça adonne aux deux, selon nos heures respectives. On s’est en quelque sorte habitués à “l’absence” de l’autre. On vivait même très bien avec, même si on ne peut pas s’y habituer à 100 %. Par contre, à la fin du mois et demi, j’avais hâte de le serrer dans mes bras!

Marché de nuit à Hoï An au Vietnam dans notre article Oser partir en voyage au bout du monde malgré des barrières #voyage #oservoyager

Je partageais à mon copain des photos et vidéos de ce que je vivais

 

7. Qu’est-ce qui t’a marqué positivement de ce voyage?

Au départ, mes attentes étaient de découvrir une nouvelle culture et de sortir de ma zone de confort, d’être plus dans le flot, de me laisser aller dans les opportunités que le voyage allait m’offrir, de rencontrer des personnes, autant touristes que locaux et de pouvoir vivre une expérience immersive. Je peux aujourd’hui dire qu’elles ont amplement été répondues, et même plus! J’ai appris beaucoup sur moi. Vraiment, ça a été un beau voyage.

Au cours de ce voyage-là, je me suis permise d’aller plus en contact direct avec les communautés. Pour moi, ce fut d’une grande richesse. Sans parler des panoramas à couper le souffle: autant les paysages en montagne du Vietnam que les paysages exotiques de Bali.

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Par contre, si je visualise mon périple au complet, c’est assurément Sapa, dans les montagnes du nord du Vietnam, qui m’a particulièrement marqué. Pendant 2 jours, on y a fait du trekking avec un groupe de voyageurs. On a dormi dans un petit village dans le creux d’une montagne sur des lits entourés de gros moustiquaires et on a vu des choses qu’on n’est pas habituées de voir. Ce fut très confrontant. On a pu être en contact avec des femmes qui nous ont permis d’en apprendre plus sur leur culture. On appelle ces femmes des Mamas. Elles nous ont montré comment elles teignaient leurs vêtements avec des plantes, elles nous ont fait tresser des plantes, on a cuisiné avec elles dans leur cuisine, tous assis par terre. Pour moi, ce fut une belle expérience marquante et je conseille fortement aux gens d’aller faire ce trekking-là. Ne soyez pas surpris d’être bombardés par plein de Mamas lorsque vous descendrez de votre autobus à Sapa. Elles voudront vous vendre leur trekking. Allez simplement vers celle avec qui vous connectez!

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8. On sait qu’un voyage n’est jamais parfait, est-ce que tu as vécu des moments plus difficiles ou des difficultés auxquelles vous avez dû faire face à certains moments?

C’est la barrière de la langue qui m’a particulièrement saisie. Au Vietnam, les habitants ne parlent pratiquement pas l’anglais. Ce fut vraiment difficile de se faire comprendre. Ça m’a totalement sorti de ma zone de confort.

C’est la barrière de la langue qui m’a particulièrement saisie. Au Vietnam, les habitants ne parlent pratiquement pas l’anglais. Ce fut vraiment difficile de se faire comprendre. Ça m’a totalement sorti de ma zone de confort.

Dû à cela, j’ai d’ailleurs vécu une mauvaise expérience en lien avec mon visa au Vietnam. Au début de notre voyage, lors de notre escale au Vietnam (en direction vers Bali), les douanes considéraient qu’on allait venir visiter le Vietnam tout de suite (alors que c’était seulement prévu quelques semaines plus tard). À ce moment-là, ce qui a vraiment été difficile, c’était de se faire comprendre. J’ai pleuré et je me demandais si on allait pouvoir continuer notre voyage. Au final, après quelques heures, une association nous a aidées. Bref, si vous passez par le Vietnam, prenez un Visa!

À notre second atterrissage au Vietnam, après Bali, notre chauffeur de taxi ne parlait pas du tout en anglais et utilisait une application pour communiquer avec nous. Il nous a ensuite amenées à un petit restaurant de rue et le menu en entier était seulement inscrit en vietnamien. On ne savait pas du tout ce qu’on allait manger! Finalement, lorsque l’assiette est arrivée, il y avait toutes sortes de choses que je ne connaissais pas dans mon plat.

La culture vietnamienne diverge aussi beaucoup de la nôtre. Lorsque j’ai vu de jeunes femmes de 14-15-16 ans qui avaient déjà des enfants, qui étaient mariées et qui travaillaient beaucoup, ça a vraiment été un choc culturel pour moi.

J’ai aussi fait face à une indigestion alimentaire. Et fait cocasse: c’est une intoxication alimentaire qu’on a eu dans un restaurant touristique! Donc, si je peux donner un truc, c’est de manger la nourriture que les locaux mangent, choisir la street food où beaucoup de locaux vont. C’est ce qu’on a fait par la suite et on n’est jamais retombées malades!

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Village de pêcheurs à Cat Ba au Vietnam dans notre article Oser partir en voyage au bout du monde malgré des barrières #voyage #oservoyager

Le Vietnam peut être déstabilisant avec la barrière de la langue

 

9. Aurais-tu quelques conseils à donner aux femmes qui souhaiteraient partir dans ces destinations?

Ce sont des pays où je me suis toujours sentie en sécurité! Par contre, Bali est plus touristique que le Vietnam. Maintenant, je me sentirais assurément en sécurité de voyager seule à Bali, c’est d’ailleurs peut-être dans mes projets un jour d’y retourner en solo. Simplement, gardez en tête de rester proche des autres touristes si vous êtes seules. Si vous souhaitez aller dans des régions un peu plus reculées, permettez-vous d’y aller avec d’autres voyageurs.

De plus, je vous conseille fortement de télécharger l’application Whatsapp! Les hébergements, les Airbnb, les chauffeurs de taxis, les Mamas et les autres voyageurs utilisent énormément cette application.

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Ce sont des pays où je me suis toujours sentie en sécurité! Par contre, Bali est plus touristique que le Vietnam. Maintenant, je me sentirais assurément en sécurité de voyager seule à Bali, c’est d’ailleurs peut-être dans mes projets un jour d’y retourner en solo.

Monkey forest à Ubud à Bali dans notre article Oser partir en voyage au bout du monde malgré des barrières #voyage #oservoyager

Bali est très touristique, je n’hésiterais pas à y aller seule la prochaine fois

 

10. Qu’est-ce qu’on peut te souhaiter pour la suite? Tes prochains projets/objectifs?

De retourner en voyage le plus vite possible (ahaha)! Sans blague, de découvrir d’autres endroits comme je l’ai fait lors de ce voyage-là et de continuer d’aller à la rencontre des locaux.

île de Cat Ba au Vietnam dans notre article Oser partir en voyage au bout du monde malgré des barrières #voyage #oservoyager

Sur l’île de Cat Ba au Vietnam, un bel endroit à voir

Lorsque nous réalisons que ces individus, qui suscitent notre admiration sur les réseaux sociaux, sont des femmes et des hommes que nous avons côtoyés à l’école ou, dans mon cas, des amis proches, nous devons venir à l’évidence qu’ils sont, tout comme nous, fait de la même chair.

Maude, avec toutes ses humaines insécurités et aspirations, en est un si bel exemple. Elle a baissé des barrières qu’elle aurait pu se poser elle-même -comme devoir partir avec une inconnue, avoir peur des hauteurs, avoir le mal des transports, être insécure face à la barrière de la langue, avoir un copain qui reste à la maison- afin de concrétiser un magnifique défi qui se dresse aujourd’hui fièrement dans sa banque d’accomplissement. Nous avons tous le potentiel d’atteindre nos objectifs, tout est une question de volonté et de savoir oser!


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* Cet article a été rendu possible grâce à la collaboration de notre auteure, tous les propos et les expériences demeurent les siens ou ceux de son invité. Ils comportent également des liens affiliés de partenaires, choisis judicieusement par l’équipe de LVDQ, pour vous aider à organiser vos voyages autour du monde.

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