Êtes-vous accros à la randonnée et aux voyages ? Souhaitez-vous constamment partir effectuer un trek en montagne dans un pays lointain pour découvrir de nouveaux horizons ? Toutefois, le retour à la réalité peut être brutal ! Je vous propose ici 5 témoignages d’hommes et de femmes, pour qui le retour à la réalité a été difficile et qui ont vécu un blues après un voyage de randonnée.
La préparation du voyage : L’excitation
Lorsque l’on convoite une destination pour y effectuer un voyage de randonnée, que l’on fait des recherches, que l’on analyse les cartes des sentiers, nous sommes dans une phase d’euphorie. L’excitation est telle que l’on ne pense qu’à notre voyage en y rêvant et en se voyant déjà fouler les sentiers sur les crêtes escarpées. Cette période de préparation peut être assez courte ou relativement longue, selon la nature de votre projet.
Que l’on organise soi-même le voyage ou avec une agence de trek, l’excitation est à son comble. Durant toute cette période, vous êtes sur un « HIGH » d’émotions. Vous faites plusieurs lectures, regardez plusieurs documentaires sur Internet et effectuez des recherches d’hébergements de gîtes et refuges. C’est tellement excitant cette étape de la planification ! Vous débutez également votre entraînement quelques mois avant votre départ, afin d’être prêt physiquement et mentalement à la réalisation de votre voyage.
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La réalisation du voyage : L’extase
L’étape du voyage est enfin arrivée, vous êtes fin prêt à vivre votre rêve devenu réalité. Vous avez peine à croire que vous avez attendu toute une année pour la réalisation de ce voyage et que vous y êtes enfin. Les journées défilent rapidement et vous avez l’impression de renaître. Déjà une semaine de passée et il ne reste que quelques jours encore. Les études prouvent que la randonnée est un antidépresseur, il élimine le stress. Quand on passe quelques semaines à vivre de montagnes, d’air frais, on libère des endorphines ; l’hormone du plaisir.
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La fin du voyage : La déprime
Le voyage est désormais terminé et vous venez d’arriver à la maison. Votre boîte à lettres est remplie de comptes à payer, votre boîte de courriel est pleine de emails du bureau. Vous devez récupérer vos enfants chez votre ex-conjoint, faire l’épicerie, le souper et les tâches ménagères. Vous devez gérer trop de responsabilités à la fois et la réalité quotidienne de la « vie normale » vous rattrape trop rapidement. VOUS PANIQUEZ !
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Souvent, nous ne sommes pas préparées au choc du retour. Vous souffrez donc du blues des vacances, ce blues après un voyage de randonnée que plusieurs souffrent. Dans un premier temps, vous vous sentirez fatigué et déprimé. Votre corps s’étant habitué à l’effort physique, à faire le plein d’oxygène en étant à l’extérieur alors que maintenant, vous êtes cloîtré entre quatre murs, dans un mode de vie plus sédentaire. Votre corps subit un choc dû au changement de rythme de vie et aussi, dû au décalage horaire. Vous trouvez la vie urbaine superficielle, surtout si vous revenez d’un pays pauvre défavorisé ou tout simplement d’un pays moins urbanisé.
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5 témoignages d’un blues après voyage de randonnée en montagnes
Je vous présente ici les 5 témoignages de gens qui ont vécu le blues après un voyage de randonnée , pour qui le retour à la réalité après un trek en montagnes a été difficile.
Témoignage de Véronique Toraille : le blues après un voyage de randonnée sur le GR20 en Corse
Véronique a effectué un trek sur le sentier mythique du GR20 en Corse, en septembre 2019. C’était un trek organisé avec une agence et avec un guide local. Le groupe a été formé par moi-même, Caroline Gref. Nous étions 12 personnes dans le groupe pour une durée de deux semaines.
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Je n’ai jamais vraiment réalisé que les journées passaient si vite, dit-elle. Deux ou trois jours avant la fin, lorsque le guide nous a annoncé que c’était nos derniers jours, j’ai eu un choc. Véronique a eu l’impression que cela allait durer sans fin, cette nouvelle routine, cette nouvelle vie bien simple, de marcher à longueur de journée ! Pas de tracas du quotidien, déclare-t-elle, j’étais comme dans une bulle. C’est comme si j’avais pris une claque en plein visage, qui m’aurait brutalement réveillée, sortie de mon rêve. Je me suis sentie soudainement triste, je ne voulais pas que ça s’arrête, confie-t-elle. Elle ressentait ce fameux blues après un voyage de randonnée en montagnes.
Le retour à la routine a été très difficile pour elle. Revenir signifiait recommencer à organiser des repas, s’occuper de sa maison, des factures, le travail, l’horaire avec ses enfants. Véronique s’est sentie submergée par tous ces aspects du quotidien auxquels elle avait échappé pendant deux semaines et qui ne lui manquait pas du tout !
En revenant, Véronique avait l’impression de ne plus être à sa place, téléportée dans un monde autrefois le sien, mais qui ne lui correspondait plus. Elle a ressenti le besoin de s’isoler et avait l’impression que sa vie était compliquée et sans intérêt. Elle n’avait qu’une envie, celle de repartir avec son sac sur le dos. Je me suis beaucoup questionnée sur le sens de ma vie, dit-elle. C’était ça, mes deux semaines de trek, deux semaines à ne penser à rien, à être dehors toute la journée, à vivre simplement, manger, marcher, dormir et découvrir de merveilleux paysages.
Elle a remis en cause plusieurs aspects de sa vie et s’est sérieusement demandé si elle ne devait pas tout quitter et repartir. En 2020, elle s’était fixée comme objectif de partir seule quelques semaines sur Compostelle avec son sac à dos, mais à cause de la pandémie de la Covid-19, ce projet a avorté. Elle pense prendre une année sabbatique pour partir à nouveau quand elle le pourra, ce n’est que partie remise.
Témoignage de Sébastien Trudel : dur retour à la réalité après ses treks en montagnes
Sébastien est alpiniste, il a fait plusieurs expéditions en haute montagne, il a randonné entre autres en Alaska, en Inde, en France, en Argentine et au Népal. Les voyages de Sébastien, d’une durée moyenne de trois à cinq semaines, ont été planifiés par lui-même et ses partenaires de montagne, ou organisés avec une agence de guides locaux.
Les mois précédant un voyage de randonnée, Sébastien fait beaucoup de lectures, de planifications et d’entraînements physiques soutenus en montagne. Durant les treks, on vit un jour à la fois, dit-il. On marche en pensant à rien d’autre, on voit des paysages exceptionnels, on vit simplement, avec aucun horaire précis. Après avoir passé des semaines dans des endroits nouveaux, à vivre des expériences uniques, Sébastien trouve le retour au quotidien toujours un peu difficile.
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Le retour ressemble à un post-partum dit-il : la préparation du projet a pris beaucoup de place et maintenant qu’il est terminé, il y a un vide. C’est véritablement l’aboutissement d’un projet dans lequel j’ai focalisé toute mon énergie durant plusieurs mois, voire des années. Sébastien voyage parfois dans des endroits modestes, voire très pauvres. Selon lui, le contraste entre la simplicité de la vie en montagne et la frénésie de la vie urbaine, qui nous bombarde d’artifices, censés nous combler, est parfois frustrant. Alors qu’en expédition, toute notre vie entre dans un sac à dos, affirme-t-il. Le confort d’une maison, d’une voiture et d’un bureau tout propre, semble soudainement futile.
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Après quelques semaines à se reposer après le retour d’un voyage de randonnée, Sébastien sent le besoin d’avoir de nouveaux projets, le besoin d’en apprendre plus sur de nouvelles régions et de relever de nouveaux défis. Sébastien sent un engagement émotif et physique envers ses projets. Et selon lui, il faut faire le deuil du dernier voyage pour laisser la place pour le prochain.
Témoignage de Catherine Charette : le blues du retour à la réalité après un voyage de 11 mois en Amérique du Sud
En 2003, Catherine s’est envolée pour l’Amérique du Sud pour un voyage en sac à dos d’une durée de 11 mois. Ses destinations ont été l’Argentine, la Bolivie, le Vénézuela et le Pérou. Elle y travaillait comme gestionnaire d’un projet de coopération volontaire dans un orphelinat. Elle a passé la moitié de son temps à randonner en mini groupe avec un guide dans certaines régions des plus dangereuses de l’Amérique du Sud. Le trek qui l’a beaucoup marqué, 9 jours dans le parc Nahuel Huapi, dans la Cordillère des Andes en Argentine.
Quand elle est revenue à Montréal, elle n’était donc plus la même personne et côtoyait des gens qui n’avaient jamais vécu une telle expérience. Vivre librement, voir comment les autres vivent et en plus d’aller à leur rencontre et de travailler avec eux, c’est transformateur dit-elle. Catherine a gravi plusieurs montagnes de plus de 5000 mètres, a vu des animaux sauvages, des glaciers, des geysers et des volcans.
Tout était maintenant possible pour elle : quitter un excellent emploi, tout vendre pour partir à l’aventure et profiter de la vie, il y a peu de gens qui sont prêts à faire cette folie, affirme-t-elle. Elle se sentait plus aventureuse et vibrante par rapport à ses collègues de travail qui étaient très rationnels, très carrés. Catherine n’a pas ressenti un gros blues à son retour de voyage, mais de l’ennui et surtout le sentiment que ses aventures n’intéressaient pas tellement les autres. Elle se définit comme une passionnée, une femme allumée par les aventures et les voyages.
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Témoignage de Nado Denocho : un retour de voyage en solo en Amérique du Sud qui aide à se définir
Nado a effectué son premier voyage solo en 2013, en Amérique latine, soit au Pérou, en Bolivie et en Argentine. Un voyage de trek qu’il a lui-même organisé, pour une durée d’un mois et demi. C’était aussi la première fois qu’il randonnait seul. Avant ce voyage, il était craintif de partir seul vers l’inconnu. Mais une fois sur place, il a adoré l’expérience. Selon lui, voyager seul est comme de la méditation. Nado a randonné sur le Machu Picchu et le Canyon Del Colca.
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En revenant chez moi, durant la première semaine, j’étais encore sur le « hype », comme sur un nuage, dit-il. Nado racontait son voyage à qui voulait bien l’entendre et ça lui faisait un grand bien de pouvoir en parler. Mais peu de temps après, il a senti le besoin de changer de vie, il a donc trouvé un nouvel emploi. Il s’est aussi initié à de nouvelles activités sportives telles que le ski de fond, l’escalade et bien sûr, la pratique de la randonnée sur une base plus régulière. Ça m’aidait à évacuer ce débordement d’énergie que j’avais en moi, déclare-t-il. Franchement, je me suis découvert durant ce voyage. Avant, j’étais beaucoup dans le métro, boulot, dodo, à m’oublier pour les autres et je me sentais pris au piège, dit-il.
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Ce voyage m’a juste prouvé à moi-même que je pouvais tout faire ! Nado a compris que le fait d’être seul en voyage ne veut pas nécessairement dire solitaire. Ça veut seulement dire que nous pouvons choisir d’être entouré de gens de qualité, dans le cas contraire, apprendre à être bien avec soi-même.
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Témoignage de Marie Leroux : le blues après un voyage de randonnée en Crète
En 2016, Marie partait pour la Crète avec une agence, pour un trek en groupe. Tous des gens qu’elle ne connaissait pas, mais toutefois la chimie s’y est vite installée. Tout au long du voyage, Marie était en mode découverte et vivait pleinement sa passion ; la randonnée.
Le trek de Marie était d’une durée de deux semaines, mais elle a décidé de prolonger son voyage d’une semaine avec un guide crétois pour y effectuer de la randonnée. Ce fut vraiment magique, me raconte-t-elle.
Le retour a été difficile pour Marie ; OUF ! Le choc au retour et la nostalgie ont embarqué, et pas à peu près dit-elle. Je ne trouvais plus mes repères. Mes pensées étaient sans cesse là-bas avec le groupe. Marie affirme s’être sentie nostalgique et déprimée, d’avoir ressenti le blues après le voyage de randonnée durant une bonne année. Heureusement, Marie est restée en contact avec une des participantes du groupe. Cette amitié lui a permis de faire le deuil de son voyage, en partageant leurs souvenirs ensemble.
Selon Marie, voyager nous change d’une façon ou d’une autre. L’important c’est d’avoir de l’ouverture face à soi-même et face aux autres. Ça nous change de l’intérieur, ça nous forge, nous rend plus forte, plus autonome et plus fière de nous, confie-t-elle.
Les souvenirs de voyage : Le deuil
Vous revenez de voyage, vous avez perdu vos repères et ne savez plus quelle direction suivre. Je vous conseille d’élaborer un plan d’action, afin de mieux vous adapter à votre retour. Planifiez-vous un horaire d’activités sportives ou d’entraînement, seul ou en groupe d’amis. Des sorties de randonnée en montagne seront définitivement votre meilleur remède. Ne vous en faites pas, le blues après un voyage de randonnée est normal et heureusement passager.
Par contre, n’oubliez surtout pas de vous reposer, car votre corps en aura grandement besoin après tous les efforts physiques que vous lui avez imposés durant ce voyage de randonnée. Planifiez-vous des activités relaxantes. Pourquoi ne pas aller au spa avec des copines ou avec votre conjoint, pour détendre tous vos muscles ? L’important c’est d’écouter votre corps.
Pour réussir à faire le deuil d’un voyage de randonnée, je vous recommande d’écrire un blog de voyage. Ainsi, en mettant sur papier vos états d’âme, tous les détails de votre itinéraire et de vos souvenirs, vous ferez en quelque sorte une thérapie. Pour ma part, c’est ce que j’ai fait. J’ai écrit un article de blog à mon retour de voyage de trek sur l’Île de la Réunion en 2018 et sur mon parcours sur le GR20 en Corse en 2019. Le fait de mettre le tout par écrit et d’aider les autres personnes à planifier un tel voyage, est vraiment valorisant et bénéfique.
Je vous conseille également de faire une présentation PowerPoint pour expliquer votre voyage à vos parents et amis. De cette façon, toute votre énergie sera canalisée sur la réalisation de cette présentation. Pourquoi ne pas faire une présentation sur les médias sociaux via une plate-forme telle que Zoom ?
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La visualisation d’un nouveau projet
Pour aller de l’avant et vaincre le blues après un voyage de randonnée, je vous recommande de faire une liste des différentes destinations qui vous intéressent, sans nécessairement arrêter votre choix. Mais comment choisir LA prochaine destination pour un voyage de trekking ?
Est-ce que ce sont les paysages tropicaux luxuriants qui vous allument ou plutôt des sommets enneigés ? Pour trouver la destination idéale pour votre prochain voyage de randonnée, je vous conseille de regarder ce que les agences de trek offrent comme destination. Faites également des recherches sur YouTube en utilisant des mots-clés, TREK, HIKING, RANDONNÉE et le nom du pays concerné. De cette façon, vous pourrez analyser en détail les sentiers de randonnée et les panoramas que vous y découvrirez. Vous serez donc mieux informé et vous pourrez effectuer un triage préliminaire de destinations qui vous intéressent le plus. De cette façon, vous pourrez aller de l’avant dans un nouveau projet de voyage et votre blues sera vite passé.
En conclusion
Qu’il s’agisse d’un voyage à court ou long terme, d’un voyage en autonomie ou organisé avec une agence, le blues après un voyage de randonnée sera réel et tout à fait normal. Son intensité sera vécue différemment d’une personne à l’autre. Toutefois, un point revient fréquemment dans les témoignages ; le besoin de faire une mise au point sur nos choix de vie future.
Durant le voyage de randonnée, vous serez déconnecté de la réalité quotidienne et vous vivrez le moment présent, oubliant presque votre vie d’avant. Une fois le voyage terminé, la routine reprend son cours normal et vous aurez de la difficulté à réintégrer votre vie bien rangée et sédentaire. Vous n’aurez qu’une envie, celle de repartir avec votre sac sur le dos. Un voyage en trek vous changera, vous vous sentirez plus accomplie, plus consciente et aussi plus autonome. Pour vous aider à vaincre votre blues du voyage, mettez par écrit votre itinéraire et vos états d’âme. Créez un blog ou même un diaporama avec photo et description, que vous pourrez présenter à votre famille. Le fait de raconter votre périple vous aidera à gérer les émotions. Une fois que votre blues sera passé, vous pourrez débuter la planification de votre prochain voyage de randonnée et aller de l’avant avec ce nouveau défi.
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